Amis de la sagesse, bienvenue sur le site du CEREPH
Le cercle de réflexion philosophique (CEREPH) de l’Institut de Philosophie Saint-Joseph-Mukasa est un jardin où germe et fleurit l’amour de la sagesse, la quête inlassable de la vérité. C’est une entreprise dont le fondement assortit à la devise même de notre institut : « Veritas liberabit vos », c’est-à-dire « la vérité vous rendra libres ».
A l’heure de la pléthore de vérités, d’une prévarication inquiétante, de la noyade des consciences, du relativisme burlesque et désinvolte, de l’obscurantisme aberrant d’une société en perte de valeurs, il urge, pour l’esprit humain, de se libérer de la tyrannie de l’ignorance, en se tournant vers la Vérité, l’unique qui soit.
La Vérité, celle qui libère, ne saurait être une entrave à l’épanouissement de l’homme. L’idéal d’une vérité doit nous mener au-delà du simple savoir livresque et de la simple compétence académique. En effet, il est plus facile de glaner et d’accumuler des connaissances, de décrocher des diplômes que de se mettre résolument sur le chemin de la Vérité qui libère.
Platon nous présente justement la philosophie comme voie royale qui nous libère en nous ouvrant à la splendeur époustouflante de la vérité dans sa réalité. Il est d’ailleurs relayé par Descartes qui accuse implicitement les non-philosophes de cécité. Pour la vérité au risque de sa vie, le philosophe de Platon se donne pour mission d’aller défaire les siens de leur carcan.
Bien qu’il sache qu’il sera hué des siens, il y va quand même, car une vérité qui libère est forcément celle pour laquelle nous voulons vivre et mourir. L’amour de la Vérité n’est cependant pas l’apanage des seuls philosophes, car Joseph Mukasa, par exemple, n’était pas philosophe, mais il a su être un chercheur de vérité, un témoin de la Vérité. Il a su écouter la Voix qui disait être le Chemin la Vérité et la Vie. Par sa vie et sa mort, Joseph Mukasa et ses compagnons ont su nous dire que la Vérité passe avant tout et que cette vérité c’est Jésus Christ. L’amour de la sagesse est l’amour de la Vérité.
Le cercle de réflexion philosophique (CEREPH) de l’Institut de Philosophie Saint-Joseph-Mukasa est un jardin où germe et fleurit l’amour de la sagesse, la quête inlassable de la vérité. C’est une entreprise dont le fondement assortit à la devise même de notre institut : « Veritas liberabit vos », c’est-à-dire « la vérité vous rendra libres ».
A l’heure de la pléthore de vérités, d’une prévarication inquiétante, de la noyade des consciences, du relativisme burlesque et désinvolte, de l’obscurantisme aberrant d’une société en perte de valeurs, il urge, pour l’esprit humain, de se libérer de la tyrannie de l’ignorance, en se tournant vers la Vérité, l’unique qui soit.
La Vérité, celle qui libère, ne saurait être une entrave à l’épanouissement de l’homme. L’idéal d’une vérité doit nous mener au-delà du simple savoir livresque et de la simple compétence académique. En effet, il est plus facile de glaner et d’accumuler des connaissances, de décrocher des diplômes que de se mettre résolument sur le chemin de la Vérité qui libère.
Platon nous présente justement la philosophie comme voie royale qui nous libère en nous ouvrant à la splendeur époustouflante de la vérité dans sa réalité. Il est d’ailleurs relayé par Descartes qui accuse implicitement les non-philosophes de cécité. Pour la vérité au risque de sa vie, le philosophe de Platon se donne pour mission d’aller défaire les siens de leur carcan.
Bien qu’il sache qu’il sera hué des siens, il y va quand même, car une vérité qui libère est forcément celle pour laquelle nous voulons vivre et mourir. L’amour de la Vérité n’est cependant pas l’apanage des seuls philosophes, car Joseph Mukasa, par exemple, n’était pas philosophe, mais il a su être un chercheur de vérité, un témoin de la Vérité. Il a su écouter la Voix qui disait être le Chemin la Vérité et la Vie. Par sa vie et sa mort, Joseph Mukasa et ses compagnons ont su nous dire que la Vérité passe avant tout et que cette vérité c’est Jésus Christ. L’amour de la sagesse est l’amour de la Vérité.
